Auteur : Olivier Trachier https://larevue.conservatoiredeparis.fr:443/index.php/news/outil/js/docannexe/file/817/index.php?id=479 Index des publications de Auteur Olivier Trachier fr 0 Les « Trésors de Naples », de Gesualdo à Lacorcia https://larevue.conservatoiredeparis.fr:443/index.php/news/outil/js/docannexe/file/817/index.php?id=1188 Ce court article souhaite attirer l’attention sur l’école polyphonique napolitaine du début du XVIIe siècle et en particulier sur Scipione Lacorcia, dont l’auteur de ces lignes vient de mettre en partition le IIIe livre de madrigaux à 5 voix (Naples, 1620) aux Éditions Buissonnières. Le remarquable talent de Lacorcia, déjà perceptible dans son IIe livre (Naples, 1616), devrait lui mériter une place de choix à côté de Carlo Gesualdo, vers qui le public actuel porte un peu trop exclusivement le regard. Du reste, bien des madrigalistes napolitains de la même époque dirigent leurs recherches du même côté, cultivant un style sophistiqué et une langue assez surprenante. Même si leur écriture n’atteint pas les sommets gésualdiens, elle révèle de grandes qualités de composition contrapuntique. Ainsi pourrait-on espérer une diffusion prochaine de leurs madrigaux par le disque ou la mise en partition. Les deux extraits du livre de Lacorcia proposés ici en annexe (à lire et à écouter) veulent contribuer au premier pas dans cette direction. The Treasures of Naples, from Gesualdo to Lacorcia This short article wishes to draw the attention on the neapolitan polyphonic school of the beginning of the XVIIth century and in particular on Scipione Lacorcia, whose IIIth book of madrigals for 5 voices (Naples, 1620) the author of these lines has just put in score in the Éditions Buissonnières. His remarkable talent, already perceptible in his IIth book (Naples, 1616), should deserve him a special place next to Carlo Gesualdo, towards whom the current public carries slightly too exclusively the look. Besides, many neapolitan madrigalists of the same period manage their researches on the same side, cultivating a sophisticated style and a rather surprising language. Even if their writing does not reach gesualdians summits, it reveals remarkable qualities of contrapuntal composition. So could one hope for a next distribution of their madrigals, by the disk or the score. Both extracts of the book of Lacorcia proposed here in appendix (to read and to listen to) want to contribute to take the first step in this direction. mar., 08 déc. 2015 14:04:05 +0100 lun., 14 déc. 2015 13:40:53 +0100 https://larevue.conservatoiredeparis.fr:443/index.php/news/outil/js/docannexe/file/817/index.php?id=1188 Saisir la musique en notation blanche – une nouvelle extension du logiciel Finale https://larevue.conservatoiredeparis.fr:443/index.php/news/outil/js/docannexe/file/817/index.php?id=466 Le logiciel de notation musicale Finale ne prenant pas en charge la notation blanche de la Renaissance, Boris Freulon, étudiant au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, et moi-même, Olivier Trachier, avons remédié à cette lacune en créant une extension appelée « Notation musicale XVIe ». Elle permet d’utiliser la plupart des caractères d’imprimerie musicale de cette époque : clés anciennes, notes losangées, pauses, notes noires, syncopes, signes d’altérations, indications métriques (ternaires en particulier), signes divers comme guidon ou reprise, texte, etc. Limité pour le moment aux classes d’écriture et d’analyse du Conservatoire, son usage ne demande qu’à s’étendre, pour faciliter l’accès des musiciens à un matériel plus authentique respectant les codes de notation de l’époque. Quelques exemples permettent ici de se rendre compte du résultat ; la police est fort belle et son maniement est, on le précise, tout à fait souple. Seize the music in white notation: a new extension of the software Finale The software of musical notation Finale not taking care of the white notation of the Renaissance, Boris Freulon, student in the Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, and myself Olivier Trachier remedied this gap by creating an extension called « Notation musicale XVIe ». She allows to use most of the characters of musical printing office of this time: ancient clefs, lozenge-shaped notes, rests, black notes, syncopations, accidentals, time signatures (ternary in particular), diverse signs as direct or reprise, text, etc. Limited for the moment to the courses of « écriture musicale » and analysis of the Conservatoire, its use asks only to extend, to facilitate the access of the musicians to a more authentic material respecting the codes of notation of the period. Some examples allow here to realize the result; the font is very beautiful and its manipulation is, we specify it, completely flexible. mar., 01 janv. 2013 16:10:44 +0100 mer., 13 févr. 2013 11:21:31 +0100 https://larevue.conservatoiredeparis.fr:443/index.php/news/outil/js/docannexe/file/817/index.php?id=466