piano http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=842 Index de piano fr 0 La règle de l’octave dans les traités d’accompagnement entre 1820 et 1860 http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=2705 La disparition de la basse continue aurait pu entraîner l’abandon d’un exercice rattaché à cette pratique : la règle de l’octave. On en observe pourtant la persistance dans de nombreux traités d’accompagnement publiés en France au XIXe siècle. La présente étude cherche à montrer comment et pourquoi ce matériau pédagogique du passé continue à être utilisé par le Conservatoire de Paris, notamment dans le cadre des études d’harmonie et d’accompagnement. Les discours développés sur la règle de l’octave au XIXe siècle permettent de saisir de multiples enjeux de la théorie du langage musical dans un cadre pédagogique. Plus généralement, notre travail cherche à déterminer les différents buts des traités d’accompagnement publiés dans la première partie du XIXe siècle. The disappearance of basso continuo could have resulted in the abandonment of an exercise related to this practice : the règle de l’octave. We observe, however, the persistence of that rule in numerous accompanying treatises published in the 19th century in France. Our study tries to show how and why this educational material from the past continues to be used by the Paris Conservatory, particularly in the context of harmony and accompaniment studies. The discourses on the règle de l’octave by 19th century authors allows us to grasp the multiple issues of musical language theory in a pedagogical field. More generally, this work seeks to determine the different goals of the accompanying treatises published in the first part of the 19th century. ven., 03 mai 2024 14:39:09 +0200 mar., 15 oct. 2024 10:51:17 +0200 http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=2705 SONATiNeXPRESSIVE de Stefano Gervasoni. La spontanéité : le mythe ou la réalité http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=2253 L’œuvre tentaculaire de Stefano Gervasoni opère des retours constants à elle-même impliquant parfois aussi des éléments extérieurs, bien qu’à première écoute tout puisse paraître nouveau, et le processus en lui-même spontané, naturel. L’examen approfondi dévoile un penchant prononcé du compositeur pour les proportions numériques soigneusement choisies. Dans ce travail se posent de nombreuses questions : quels sont les motifs artistiques qui poussent le compositeur à se citer, quelles sont les œuvres empruntées et pourquoi ont-elles été choisies, comment les « retours » sont-ils intégrés dans le concept et contexte sonore nouveau, modifiant ainsi leur sens, et quels sont les procédés compositionnels caractéristiques ? À travers l’analyse de la SONATiNeXPRESSIVE se profile l’univers du compositeur dans une période donnée de sa vie créative en même temps qu’une réponse, même partielle, aux questions soulevées. Stefano Gervasoni's SONATiNeXPRESSIVE. Spontaneity: myth and reality. The sprawling work of Stefano Gervasoni constantly operates back on itself, sometimes involving also external elements, although at first sight it always sounds new, spontaneous, natural, while on closer examination it reveals a pronounced inclination for numerical proportions. In this work many questions arise: what are the artistic motives that drive the composer to (self-)quote, what are the works cited and why were they chosen, how are they integrated into the new concept and sound context and what are the characteristic compositional processes? Through the analysis of the SONATiNeXPRESSIVE the composer’s universe, in a given period of his creative life, is looming along with maybe a partial answer to the questions raised. mer., 27 mars 2019 16:23:10 +0100 dim., 26 mai 2019 17:56:16 +0200 http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=2253 Un regard sur les Souvenirs des concerts du Conservatoire de Charles-Valentin Alkan (1813-1888) http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=1605 Cet article s’appuie sur la préface de la première série des Souvenirs des concerts du Conservatoire pour piano seul d’Alkan. À notre connaissance, c’est le seul texte, au sens strict,dans lequel Alkan ait consigné ses points de vue dans le domaine de la transcription. Pour comprendre sa conception fondée sur une perspective envisagée sous des angles différents, il nous a paru indispensable de mener l’enquête en tenant compte à la fois du contexte sociohistorique et de ses propres stratégies compositionnelles. A contemplation on the Souvenirs des concerts du Conservatoire of Charles-Valentin Alkan (1813-1888) This paper focuses on the preface of the first series of Souvenirs des concerts du Conservatoire for piano solo of Alkan. According to our current knowledge, this preface is the only text, in the strict sense, where Alkan recorded his opinions of transcription. Also, to understand his conception based on a perspective envisaged from different angles, it seemed necessary to conduct the investigation from several angles, from historical and social contexts to his compositional strategies. ven., 23 juin 2017 11:45:11 +0200 ven., 23 juin 2017 11:55:48 +0200 http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=1605 L’art de la pédalisation : peut-on jouer d’après les Urtexte ? http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=683 Le peu d’attention accordé par les étudiants aux signes de pédale indiqués dans la partition est étonnant. Lors de mes études, j’ai entendu à de nombreuses reprises dire que les signes de pédales n’étaient pas bien indiqués, ou que peut-être ils n’étaient réalisables que sur des instruments de l’époque. J’ai donc souhaité comprendre pourquoi nous en sommes arrivés à ne pas prendre au sérieux les indications de pédale notées par les compositeurs, en dépit de leur présence dans de nombreuses éditions urtext. Pour tenter de comprendre quelle était l’utilisation du registre qui lève les étouffoirs, je vous propose de faire une expérience sonore et d’examiner successivement : - les instruments et leurs systèmes pour lever les étouffoirs, - les méthodes, - puis de voir quels sont les changements qui interviennent à partir de 1875. English title : The art of pedalling: can one play urtext?I am always astonished by the small attention paid by students to pedal markings in a score. During my studies, I frequently heard it said that pedal markings were badly indicated, or that perhaps they were only practicable on the instruments of their time. I therefore wished to understand how it should have come about, in spite of the many urtext editions available, that we no longer take seriously the pedal markings indicated by composers. To try to understand how the register which raises the dampers was employed, I propose to examine with you: -Instruments and their damper-raising systems -Contemporary piano methods -Changes in usage after 1875. jeu., 23 mai 2013 11:40:34 +0200 jeu., 27 juin 2013 16:43:07 +0200 http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php/news/lodel/css/docannexe/file/2923/index.php?id=683